Dites-moi ci-dessous dans les commentaires si ces trucs et astuces vous ont été utiles.
1. Le flou de bougé
2. Comment protéger son appareil
3. Le contre-jour
4. Calibrer son écran
1. LE FLOU DE BOUGÉ
Celui-ci apparaît notamment si vous prenez en photo un objet se déplaçant rapidement avec un temps d’exposition très court. L’utilisation du flou de bougé peut se justifier pour souligner l’effet de mouvement. Pour ce type de photographie, le temps d’exposition doit être long (de 1/15e à 1/4 de seconde) et il faut utiliser de préférence un trépied. Si vous souhaitez figer l’objet en mouvement et garder le reste de la photo flou, il faut utiliser le flash et accompagner le mouvement avec l’appareil. Vous pouvez ainsi saisir correctement le mouvement rapide d’un vélo,
d’une voiture, etc…
Pour ce type de photo, le temps d’exposition doit être long, mais également suffisamment court afin que la photo ne soit pas entièrement floue. Vous pouvez faire des tests avec un temps d’exposition de 1/30e ou de 1/15e de seconde.
En fin de compte, le temps d’exposition dépend du mouvement de l’objet photographié et du fait de savoir si le flou de bougé s’applique à l’objet principal ou à l’arrière-plan. Votre appareil photo numérique vous permet bien sûr de juger de la qualité du résultat de vos tests et de refaire la photo avec un temps d’exposition différent.
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2. COMMENT PROTÉGER SON APPAREIL PHOTO
L’appareil photo est un objet des plus fragiles, surtout au cours des voyages lorsqu’il est exposé à l’humidité, à la chaleur et à la poussière. Voici quelques conseils pour bien protéger votre appareil photo en été.
L’humidité
Sous la pluie britannique ou au bord de la mer, l’humidité est l’un des pires ennemis de l’appareil photo. Il faut donc toujours garder l’appareil dans son étui et, dans la mesure du possible, dans un endroit frais et sec. Si les conditions sont vraiment critiques, enfermez-le dans un sac plastique étanche (comme par exemple un sac de congélation).
La chaleur
Evitez de laisser votre appareil photo en plein soleil et préférez un étui de couleur claire. Ce sont surtout les pellicules des appareils argentiques qui craignent les hautes températures, car elles risquent de changer leur équilibre chromatique.
Le sable et la poussière
Le sable et la poussière peuvent s’introduire dans les joints de l’appareil et causer des rayures sur les films et les verres. Avant de partir à la plage ou sur une route poussiéreuse, inspectez votre appareil photo et bouchez toutes les ouvertures avec une bande adhésive. Si toutefois votre appareil est exposé accidentellement au sable ou à la poussière, n’appuyez plus sur aucune touche ! Emballez-le dans un tissu propre et attendez de rentrer chez vous pour le nettoyer avec la brosse à poils de l’aspirateur ou avec une poire aspirante munie d’un pinceau.
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3. LE CONTRE-JOUR
En été, le soleil est l’un de nos compagnons quotidiens, particulièrement en vacances.
Afin de vous permettre de faire des photos dans toutes les conditions, nous vous proposons quelques informations concernant le contre-jour.
Le contre-jour est une condition d’éclairage particulière.
On distingue deux types de sujets à photographier en contre-jour.
Les paysages :
dans ce cas, le sujet principal est à une certaine distance, les contours du sujet feront donc l’essentiel du cliché. Les silhouettes, les enchevêtrements métalliques, les architectures se prêtent particulièrement bien à ce type de photos. Il n’est pas nécessaire d’utiliser le flash, l’effet recherché étant de mettre en valeur une ambiance, un lieu ou un édifice.
Les portraits :
dans ce second cas, il s’agit de prise de vue plus classique, et il faut presque systématiquement éclairer le premier plan au moyen d’un flash.
Ici l’astuce consistera à se servir du flash pour donner de l’éclat au visage photographié. Votre appareil tiendra compte du manque de luminosité, de la distance de votre sujet et enverra l’éclair de lumière nécessaire. Toutefois attention, au-delà de 10 mètres d’éloignement le flash n’est plus suffisamment efficace (sauf équipement spécifique).
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4. CALIBRER SON ÉCRAN
Tous les écrans ne se ressemblent pas. Et le rendu des couleurs est rarement le même. La solution? Calibrer votre moniteur, c’est-à-dire corriger le rendu des couleurs, au moyen des réglages intégrés ou d’un logiciel, de façon à ce que les documents à l’écran soient aussi fidèles que possible aux originaux.
Pourquoi calibrer son écran ? A l’occasion, observez chez un vendeur de télévisions les écrans placés côte à côte, réglés sur la même chaîne: les couleurs affichées sont très différentes d’un téléviseur à l’autre. La pelouse d’un stade a l’air sombre sur l’un, pâlichonne sur l’autre, vert fluo sur un troisième. Lequel est réglé trop clair, trop sombre ? Lequel est réglé “d’usine”? Lequel enfin présente la couleur réelle du gazon ?? Les écrans d’ordinateurs sont confrontés au même problème: de l’un à l’autre, les couleurs changent.
Calibrer son écran permet d’assurer une certaine similitude, dans le rendu des couleurs, entre différents ordinateurs. Les sites sur Internet, les photos ou images auront un aspect proche de celui voulu par le créateur du site, pour peu que celui-ci ait également calibré son écran !
La méthode proposée ci-dessous en vaut une autre, et ne saurait remplacer un logiciel dédié à cette tâche. Tout au plus vous permettra-t-elle d’éviter de grosses erreurs de réglage.
Régler la dynamique des gris.
Il s’agit de la première étape d’une calibration. La dynamique des gris, c’est le nombre de gris que vous pouvez discerner sur votre écran. Nous cherchons à régler au mieux la luminosité et le contraste de votre écran. Correctement effectuée, cette manipulation vous permet de visualiser une large échelle de luminosité (une large “dynamique des gris”), tout en assurant à la fois des noirs profonds et des blancs purs.
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